Au fond de la baie de la Pourina, l'étroite embouchure qui conclut l'estuaire de la rivière du même nom.
Ce passage à la nage obligé pour ceux qui veulent me visiter à pied est assez mal famé.
Les kanaks l'appellent "La mort du chinois" en souvenir d'un ancien accident et Dédé, le gardien de Ouiné le nomme : "La mangeuse d'homme".
Tous mes visiteurs ayant tenté l'aventure s'en étant sorti avec tous leurs membres, je pense que cette réputation est quelque peu surfaite.
Cependant, j'ai eu plusieurs occasions de voir dans les parages des requins que mon manque de connaissance ne m'a pas permis d'identifier : courts mais trappus avec une grosse tête faisant envisager une large machoire...